Le SMX ? un bijou pour le référencement

SMX 2014 Si le panda est au milieu, où sont le colibri et le pingouin ?

Bonjour cher lecteur.

Je te dis bonjour, parce que je suppose que tu passes une bonne journée. Et si c’est pas le cas, et bien tu vas te forcer à passer une bonne journée parce que mon pote, c’est pareil et c’est le même prix. Alors autant avoir le sourire, nan ?

Alors aujourd’hui, je vais vous parler de SMX, de bijou et de référencement. Sans blague ? Si si, il y en aura un petit peu. Si vous êtes gentil, ce sera des blagues drôles.

Ce billet très particulier a pour but de remporter le prestigieux prix organisé par Lily, un bijou de pirate qui offre des places pour le SMX à Paris. Le SMX ? Une conférence sur 2 jours où tout le gratin dauphinois du SEO, du SEA, du SMO et autres acronymes à 3 lettres se réuniront pour parler référencement et webmarketing.

Et moi je veux y être cette année ! J’y étais en 2013 [Vite ! il faut que je glisse un lien vers mon compte-rendu 2013 du SMX !] et j’avais tenté d’y aller au SMX en 2012 (Synthèse du SMX 2012).

Alors, allons droit dans le vif du sujet : le SMX

J’ai envie d’aller au SMX 2014. Sauf que je m’y prends un peu tard… le SMX se passe dans moins de 2 semaines ! Et pas question de payer le prix fort, moi qui resquille dans mon supermarché (je mets toujours une tomate en plus dans mon sachet de tomates dégueulasses d’Espagne après l’avoir pesé. Alors, je ne peux décemment pas payer au prix fort une place au SMX !).

Heureusement, Richard, l’ami du petit déjeuner du dimanche matin offre une place pour assister aux conférences et pour manger au buffet des rockstars du webmarketing. Pour cela, il va falloir faire ressortir la fibre artistique qui se trouve au fin fond de mon postérieur. L’objectif est de représenter Lily dans une création originale, dans un univers de bijou

Ouais, mais bon, j’ai aucun sens artistique et quand je vois ce que font les autres, je vais faire du pipi de chat 🙁

Bon pourtant ça devrait me motiver, moi qui ne jure que par Paint.

J’ouvre Paint et je fais comme John : j’attend

J’attends. J’attends que l’inspiration vienne, et je finis par m’endormir.

Jusqu’à la date du 4 avril où là, je suis touché par la grâce, par le génie créatif, par le doigt de Michel Ange. Hum… bon…. j’avais dit que les paradis artificiels, ce n’était plus de mon âge.

Bref, je commence à m’énerver et je m’exclame : WHAT THE FUCK, je ne trouve rien à dire sur Lily.

Un précieux juron

Non ! Pas « What the fuck » mais « QUARTZ THE FUCK« , la version en pierre précieuse de l’injure sus-nommée. Eurêka j’ai trouvé :

Nom de l’oeuvre : Quartz The Fuck

Oh yeah ! J’aime bien ça ! Mais en même temps, j’ai peur que la censure m’interdise de montrer ce genre de geste qui peut offenser les plus jeunes d’entre nous.

« Diable ! » s’exclame Lily en voulant me gifler, ce n’est pas des manières !

J’ai dû choquer Lily car elle me retourne une main pleine de doigts. J’ai pu mesurer à sa force et à la brûlure de ma joue que je l’avais choquée. Quand meme (sans accent)…

Nom de l’oeuvre : Lily slaps Robin meme

Une parodie de réconciliation brillante ?

Ne voulant pas en rester là, je me démène pour calmer la colère de Lily. Je propose même une réunion de conciliation avec des inconnus (sic !), une thérapie précieuse en l’occurrence. Nous avons besoin d’aide.

Nom de l’oeuvre : Bijou Mr Loran, on peut vous aider…  tout court ?

(NDLR : vous aurez bien entendu reconnu une parodie du sketch « Les Envahisseurs » créé par Les Inconnus : « Bijour, môssieur Vincent, on peut vous aider… tout court ? »)

Épilogue : une fin qui va surprendre tout le monde

Finalement, après avoir réussi à surmonter, comme dans toute fin qui se respecte, un événement inattendu va se produire. Une révélation qui va changer le cours de l’histoire et l’éclairer d’une lumière nouvelle (au sabr-o-laser) :

nom de l’oeuvre :  Kitty, c’est Lily, je suis ton père

Loran n’est pas un vendu, il n’a touché aucun centime pour écrire cet article. Si ça avait été le cas, il aurait embauché un rédacteur, aurait fait un effort pour écrire en français et ne parlerait pas à la troisième personne.